Le nom du rappeur américain est cité dans une plainte pour viol aux côtés de P. Diddy, déjà inculpé pour trafic sexuel et extorsions.
« C’est inacceptable. » Ces mots, ce sont ceux de la juge américaine Analisa Tores qui, dans un document relayé, ce jeudi 26 décembre, par plusieurs médias américains dont le magazine People, s’est exprimée au sujet d’une demande faite par la défense du rappeur Jay-Z, cité dans une plainte pour viol aux côtés de P. Diddy.
« Le dépôt incessant par l’avocat de Shawn Carter (le vrai nom de Jay-Z, ndlr) de requêtes agressives contenant des propos incendiaires et des attaques ad hominem est inapproprié, est un gaspillage de ressources judiciaires et une tactique peu susceptible de profiter à son client », déplore la juge.
Avant d’ajouter : « La Cour n’accélérera pas le processus judiciaire simplement parce que l’avocat le demande. » Comme le précise le magazine People, cette dernière a rejeté une nouvelle requête de l’avocat de Jay-Z, Me Alex Sapiro, visant à annuler la plainte au motif que l’accusatrice n’a pas révélé pas son identité.
D’après une nouvelle version de cette plainte contre Sean « Diddy » Combs déposée au civil dans le courant du mois de décembre, Jay-Z, dont le nom n’apparaissait pas dans la première version, est lui aussi accusé d’avoir violé une adolescente lors d’une soirée organisée à la suite des MTV Video Music Awards, en 2000.
Sean Combs inculpé
« Carter était aux côtés de Combs lors de nombreux incidents décrits dans le présent document. Les deux auteurs doivent être traduits en justice », est-il écrit dans la plainte. Dans la version précédente, Jay-Z avait été identifié comme « Célébrité A ». Celui-ci a démenti les accusations, qualifiant l’avocat chargé de l’affaire d’être « un humain déplorable ».
Alors que l’avocat du rappeur a aussitôt déclaré, ce jeudi, vouloir déposer une nouvelle requête pour faire annuler la plainte, Sean Combs est, lui, déjà inculpé pour trafic sexuel et extorsions. En parallèle, il est poursuivi au civil pour des violences sexuelles qui d’après plusieurs plaintes, se sont déroulées lors de fêtes hollywoodiennes très prisées, organisées par le rappeur lui-même.
« C’est inacceptable. » Ces mots, ce sont ceux de la juge américaine Analisa Tores qui, dans un document relayé, ce jeudi 26 décembre, par plusieurs médias américains dont le magazine People, s’est exprimée au sujet d’une demande faite par la défense du rappeur Jay-Z, cité dans une plainte pour viol aux côtés de P. Diddy.
« Le dépôt incessant par l’avocat de Shawn Carter (le vrai nom de Jay-Z, ndlr) de requêtes agressives contenant des propos incendiaires et des attaques ad hominem est inapproprié, est un gaspillage de ressources judiciaires et une tactique peu susceptible de profiter à son client », déplore la juge.
Avant d’ajouter : « La Cour n’accélérera pas le processus judiciaire simplement parce que l’avocat le demande. » Comme le précise le magazine People, cette dernière a rejeté une nouvelle requête de l’avocat de Jay-Z, Me Alex Sapiro, visant à annuler la plainte au motif que l’accusatrice n’a pas révélé pas son identité.
D’après une nouvelle version de cette plainte contre Sean « Diddy » Combs déposée au civil dans le courant du mois de décembre, Jay-Z, dont le nom n’apparaissait pas dans la première version, est lui aussi accusé d’avoir violé une adolescente lors d’une soirée organisée à la suite des MTV Video Music Awards, en 2000.
Sean Combs inculpé
« Carter était aux côtés de Combs lors de nombreux incidents décrits dans le présent document. Les deux auteurs doivent être traduits en justice », est-il écrit dans la plainte. Dans la version précédente, Jay-Z avait été identifié comme « Célébrité A ». Celui-ci a démenti les accusations, qualifiant l’avocat chargé de l’affaire d’être « un humain déplorable ».
Alors que l’avocat du rappeur a aussitôt déclaré, ce jeudi, vouloir déposer une nouvelle requête pour faire annuler la plainte, Sean Combs est, lui, déjà inculpé pour trafic sexuel et extorsions. En parallèle, il est poursuivi au civil pour des violences sexuelles qui d’après plusieurs plaintes, se sont déroulées lors de fêtes hollywoodiennes très prisées, organisées par le rappeur lui-même.
Par Le HuffPost
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